Paralysie cérébrale : informations pour les parents

Comprendre la paralysie cérébrale

La paralysie cérébrale (PC) est une lésion cérébrale de la petite enfance qui se produit à la naissance. En fonction de la localisation de la lésion, la capacité de mouvement de votre enfant peut être affectée.

La paralysie cérébrale est la cause la plus fréquente de troubles du mouvement chez les enfants. Elle affecte principalement la mobilité. Il est donc important de soutenir le développement moteur de votre enfant le plus tôt possible avec des aides à la mobilité appropriées pour trouver de bonnes solutions et maîtriser ensemble le quotidien.

Découvrez ici comment la paralysie cérébrale peut affecter votre enfant et comment vous pouvez soutenir le mouvement de votre enfant de manière ciblée.

Supporting mobility

Comment gérer la paralysie cérébrale en famille?

Les inquiétudes et les questions concernant l'avenir de votre enfant occupent vos pensées:

Quels seront les effets de la paralysie cérébrale sur le développement physique et mental de votre enfant ?
Que pouvez-vous faire pour que votre enfant mène une vie active et indépendante ?
Comment votre vie de famille va-t-elle changer ?

Définition

Qu'est-ce que la paralysie cérébrale ?

La paralysie cérébrale (PC) est également connue sous le nom de paralysie cérébrale infantile (PCI) et se définit comme une lésion du cerveau qui survient avant, pendant ou après la naissance jusqu'à l'âge de deux ans environ et qui est due à diverses causes.

Elle s'accompagne généralement d'un certain nombre de dysfonctionnements moteurs et posturaux, qui limitent souvent la mobilité.

Outre ces dysfonctionnements moteurs, d'autres troubles de la santé peuvent apparaître, tels que des troubles de la vision ou de l'audition, de la communication ou du comportement.

Cerebral palsy patient petting a horse together with his father

Évolution de la paralysie cérébrale

La paralysie cérébrale n'est pas évolutive, ce qui signifie que la lésion cérébrale ne s'aggravera pas. Cependant, elle n'est pas guérissable et les conséquences physiques et mentales de la maladie peuvent s'aggraver si elles ne sont pas traitées de manière précoce et permanente.

Une thérapie vise donc à promouvoir les capacités de mouvement existantes et à traiter les effets de la maladie.

La légèreté ou la gravité des symptômes (c'est-à-dire les handicaps physiques ou mentaux de la paralysie cérébrale) dépend de la zone du cerveau touchée et du niveau de la lésion.

Cerebral palsy patient playing with her physiotherapist

Qu'est-ce que la paralysie cérébrale ?

La paralysie cérébrale (PC) est également connue sous le nom de paralysie cérébrale infantile (PCI) et se définit comme une lésion du cerveau qui survient avant, pendant ou après la naissance jusqu'à l'âge de deux ans environ et qui est due à diverses causes.

Elle s'accompagne généralement d'un certain nombre de dysfonctionnements moteurs et posturaux, qui limitent souvent la mobilité.

Outre ces dysfonctionnements moteurs, d'autres troubles de la santé peuvent apparaître, tels que des troubles de la vision ou de l'audition, de la communication ou du comportement.

Que signifie l'infirmité motrice cérébrale infantile ou la paralysie cérébrale ?

La paralysie cérébrale peut survenir chez votre enfant pour diverses raisons ; cette lésion cérébrale de la petite enfance est souvent désignée sous le nom de paralysie cérébrale infantile (PCI).

L'expression "infirmité motrice cérébrale infantile" est aujourd'hui considérée comme dépassée, car elle implique que l'affection survient dans la petite enfance et qu'il s'agit d'un développement postnatal, c'est-à-dire qu'elle se développe après la naissance. Cependant, dans plus de 80 % des cas, la paralysie cérébrale a une cause prénatale sous-jacente, c'est-à-dire une cause qui s'est développée avant la naissance.

La paralysie cérébrale est un trouble du mouvement le plus fréquent chez l'enfant. Lorsque les enfants atteints de paralysie cérébrale (infantile) grandissent, le trouble persiste à l'âge adulte.

Évolution de la paralysie cérébrale

La paralysie cérébrale n'est pas évolutive, ce qui signifie que la lésion cérébrale ne s'aggravera pas. Cependant, elle n'est pas guérissable et les conséquences physiques et mentales de la maladie peuvent s'aggraver si elles ne sont pas traitées de manière précoce et permanente.

Une thérapie vise donc à promouvoir les capacités de mouvement existantes et à traiter les effets de la maladie.

La légèreté ou la gravité des symptômes (c'est-à-dire les handicaps physiques ou mentaux de la paralysie cérébrale) dépend de la zone du cerveau touchée et du niveau de la lésion.

Qu'est-ce que la paralysie cérébrale ?

La paralysie cérébrale (PC) est également connue sous le nom de paralysie cérébrale infantile (PCI) et se définit comme une lésion du cerveau qui survient avant, pendant ou après la naissance jusqu'à l'âge de deux ans environ et qui est due à diverses causes.

Elle s'accompagne généralement d'un certain nombre de dysfonctionnements moteurs et posturaux, qui limitent souvent la mobilité.

Outre ces dysfonctionnements moteurs, d'autres troubles de la santé peuvent apparaître, tels que des troubles de la vision ou de l'audition, de la communication ou du comportement.

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Causes et risques

Quelles sont les causes de la paralysie cérébrale ?

Il est souvent difficile pour les médecins de trouver la cause exacte de la paralysie cérébrale chez l'enfant, ou de déterminer les facteurs de risque susceptibles d'avoir joué un rôle. Il n'est souvent pas possible de déterminer la cause de la lésion cérébrale précoce. Les médecins examinent également si plusieurs facteurs peuvent être impliqués dans le développement de la paralysie cérébrale.

Les causes connues de la paralysie cérébrale chez l'enfant sont très diverses. Les médecins classent généralement les causes en fonction du moment où l'enfant subit la lésion cérébrale:

Plus de 50 % sont touchés avant la naissance (prénatal) ou pendant la grossesse à la suite d'une infection ou d'un manque d'oxygène, par exemple lorsqu'un caillot de sang (thrombose) se forme dans un vaisseau sanguin du cerveau et obstrue la circulation sanguine.
Pendant la naissance (périnatal) : En raison d'un manque d'oxygène à la naissance, par exemple.
Plus rarement après la naissance (postnatal), à la suite d'une infection telle que la méningite ou l'ictère nucléaire, ou d'une incompatibilité rhésus négligée.

Cerebral palsy patient playing with his family

Les médecins trouvent de plus en plus souvent des causes génétiques à la paralysie cérébrale et parlent de mutations "de-novo". Il s'agit de troubles chromosomiques qui peuvent être hérités, ce qui explique pourquoi les frères et sœurs présentent souvent un risque accru de paralysie cérébrale.

En outre, un certain nombre d'autres facteurs peuvent augmenter le risque de paralysie cérébrale chez les enfants. Certains de ces facteurs sont les suivants :

Grossesses multiples.
L'obésité maternelle pendant la grossesse.
Maladies infectieuses telles que la toxoplasmose ou la rubéole, ou celles causées par le cytomégalovirus ou le virus de l'herpès simplex avant ou après la naissance.

Les autres causes de l'infirmité motrice cérébrale sont les suivantes :

Naissance prématurée : Les enfants nés avant 28 semaines sont plus susceptibles d'être atteints d'infirmité motrice cérébrale.
Complications à la naissance.
Un poids de naissance trop élevé ou trop faible.

Cerebral palsy patient playing with his toys

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Nos solutions

Symptômes

Comment la paralysie cérébrale affecte-t-elle le développement de votre enfant ?

En fonction de la gravité de la lésion cérébrale survenue dans la petite enfance, différents symptômes de la paralysie cérébrale peuvent apparaître. Chez les enfants, la paralysie cérébrale affecte principalement la motricité ou la mobilité et entraîne divers troubles du mouvement. En outre, d'autres symptômes accompagnent la maladie, tels que la douleur ou les troubles cognitifs ; certains enfants peuvent avoir du mal à parler ou à sourire. Les symptômes de chaque enfant dépendent de la zone du cerveau touchée, de sorte que tous les enfants ne présentent pas les mêmes symptômes et n'ont pas la même gravité. Les signes suivants de la paralysie cérébrale se manifestent seuls ou en combinaison.

Spasticité (paralysie spastique)

La paralysie spastique est la plus fréquente ; elle signifie que certains muscles, par exemple les jambes ou les bras, ont une tension élevée permanente et sont donc constamment contractés, ce qui rend les mouvements contrôlés difficiles. Cette forme spastique d'infirmité motrice cérébrale se produit dans 75 à 87 % des cas. Si la spasticité persiste, elle peut conduire à un raccourcissement des muscles, des tendons et des ligaments, entraînant une restriction de la mobilité des articulations telles que le genou et une malposition des jambes ou des bras.

Paralysie (tétraparésie, hémiparésie, monoparésie, diparésie, paraparésie)

La paralysie plus ou moins grave est également un symptôme possible de la paralysie cérébrale. On distingue la parésie de la paralysie. Les personnes atteintes de parésie ont souvent une mobilité, bien que limitée, et une force musculaire réduite. Les personnes atteintes de paralysie, en revanche, souffrent d'une perte totale de la fonction dans la région du corps ou du membre affecté.

Les médecins définissent la paralysie et la paralysie spastique en fonction de l'endroit où elle se déclare. Si un seul membre (par exemple, un bras) est touché, on parle de monoparésie ou de monoplégie. Si les deux bras ou les deux jambes sont touchés par la paralysie, on parle de diparésie ou de diplégie. Si seules les deux jambes sont touchées, les médecins utilisent le terme paraparésie ou paraplégie pour ce type de paralysie. Ils parlent de tétraparésie ou de tétraplégie si les quatre extrémités (c'est-à-dire les deux bras et les deux jambes) sont paralysées.

Chez les personnes atteintes d'hémiparésie ou d'hémiplégie, le côté gauche ou droit du corps est paralysé ou a une mobilité limitée. En fonction de la gravité de la paralysie et de sa localisation exacte, il peut être difficile de s'asseoir ou de marcher.

Graphic representation of different forms of paralysis

Dyskinésie (Ex. : athétose)

La dyskinésie est un trouble du mouvement qui peut affecter différentes parties du corps. Chez les personnes atteintes de paralysie cérébrale, la dyskinésie se caractérise par des mouvements involontaires et incontrôlables, qui peuvent être lents ou soudains. Par exemple, les jeunes enfants atteints de dyskinésie des bras ouvrent et ferment souvent leurs mains en permanence. Il leur est alors plus difficile de tenir ou de saisir des objets tels qu'une tasse ou un jouet.

La dyskinésie peut s'aggraver lorsque l'enfant est stimulé par quelque chose. Par exemple, les enfants atteints de paralysie cérébrale dyskinétique ont des difficultés à maintenir leur tête ou le haut de leur corps en position verticale en raison d'un contrôle limité de leur corps. Dans ce cas, un fauteuil roulant bien adapté, avec des aides à l'assise et au positionnement, peut apporter un soutien et accroître la stabilité. La paralysie cérébrale athétosique (Athétose) se manifeste souvent chez un individu par des mouvements de torsion excessifs des mains ou des pieds, ou des doigts ou des orteils.

L'ataxie

Les médecins définissent l'ataxie comme un manque de coordination des mouvements, en particulier lors de la marche. Les enfants atteints de paralysie cérébrale ataxique ont des muscles faibles et une mauvaise coordination. Il est fréquent que la main de l'enfant tremble lorsqu'elle est saisie et qu'elle oscille lorsqu'il se tient debout ou qu'il marche en écartant les jambes ; de ce fait, il projette ses jambes vers l'avant à chaque pas.

Malpositions et contractures

L'une des mauvaises positions les plus courantes chez les enfants atteints de paralysie cérébrale cérébrale est la déformation équine. En raison de la spasticité musculaire, la pointe du pied est orientée vers le bas, ce qui signifie que la plante du pied ne peut pas ou difficilement être posée sur le sol. Il est donc souvent difficile de se tenir debout. Cette déformation peut être traitée grâce à la kinésithérapie et à des orthèses de positionnement ou des orthèses spéciales. Il est même possible d'éviter la rétractation des muscles, des tendons et des ligaments, qui peut entraîner une raideur permanente de l'articulation, souvent appelée contracture.

Gait abnormalities

Children with cerebral palsy sometimes show certain gait abnormalities. One such is the scissor gait, which is characterized by the knees and thighs being pressed together or crossing when walking as a result of the leg extensor muscles being strengthened. As it is not possible to bend the leg as easily with each step, the legs are too long for walking. In order to move around, affected individuals must swing their legs sideways to the front, making their gait pattern appear choppy and stiff.

Crouch gait is also a common gait abnormality in children with cerebral palsy. It is characterized by walking with bent knee and hip joints, which is much more exhausting for the child and more stressful on his or her joints. Balance disorders also play a role in gait abnormalities; in some cases, they require a wheelchair.

Douleur

Les enfants et les adultes atteints de paralysie cérébrale déclarent souvent avoir des douleurs. Elles résultent généralement de restrictions de mouvement, de spasticité ou de malpositions existantes. Elles se manifestent principalement au niveau des pieds, des genoux et des hanches, mais d'autres parties du corps peuvent également être touchées. La douleur ressentie augmente souvent avec l'âge.

Autres symptômes

Des déficiences cognitives ou sensorielles sont également possibles. Elles peuvent se manifester par des difficultés d'apprentissage, des troubles du comportement ou un retard dans le développement de la parole ou du langage. Il est également possible qu'un enfant atteint de paralysie cérébrale souffre de troubles de l'audition ou de la vision. La paralysie cérébrale peut également provoquer l'épilepsie ou des crises d'épilepsie. Il s'agit d'un trouble neurologique qui entraîne des crises musculaires individuelles ou de l'ensemble du corps à la suite d'un excès de stimuli visuels.

Sur la base des symptômes individuels, les médecins peuvent distinguer différents types ou classifications de paralysie cérébrale. L'aperçu suivant montre la forme de paralysie cérébrale derrière les termes médicaux:

Qu'est-ce que la paralysie cérébrale athétosique ?

La paralysie cérébrale athétosique est dérivée de l'athétose. Il s'agit d'un sous-groupe de la paralysie cérébrale dyskinétique. Les personnes atteintes de paralysie cérébrale athétosique présentent également des mouvements involontaires, mais ceux-ci sont généralement lents et convulsifs. Si la personne atteinte de paralysie cérébrale athétoïde est stressée, les troubles du mouvement peuvent s'aggraver. Les contractures sont moins fréquentes dans cette forme de paralysie cérébrale.

GMFCS

Que dit le niveau GMFCS sur la mobilité de votre enfant ?

Sur la base des résultats d'un examen des capacités motrices et des troubles de la mobilité de l'enfant affecté dans la vie quotidienne, les médecins peuvent diagnostiquer le niveau de gravité de la paralysie cérébrale. Le "système de classification de la fonction motrice globale" (GMFCS) est souvent utilisé à cette fin, non seulement par les médecins, mais aussi par les membres d'autres groupes professionnels, tels que les kinésithérapeutes et les ergothérapeutes. Dans de nombreux cas, les parents sont activement impliqués dans ce processus : Des questionnaires sont utilisés pour inclure leur point de vue, ce qui permet d'identifier plus facilement les problèmes quotidiens et les observations. Le GMFCS se compose de cinq niveaux ou stades, dans lesquels les enfants atteints de paralysie cérébrale, qu'ils soient légers ou sévères, peuvent être classés. Pour déterminer le niveau du GMFCS, il faut enregistrer le niveau de mobilité actuel de l'enfant - en d'autres termes, quels mouvements sont possibles pour lui dans la vie de tous les jours. Chaque niveau se réfère aux mouvements qui sont possibles. Étant donné que la capacité de mouvement dépend de l'âge de votre enfant, le GMFCS distingue également différents niveaux d'âge (de 0 à 2 ans, de 2 à 4 ans, de 4 à 6 ans, de 6 à 12 ans et de 12 à 18 ans).

GMFCS 1

Votre enfant peut se déplacer de manière autonome (avec une orthèse, par exemple une attelle de bras ou de jambe). La mobilité est à peine limitée et, selon l'âge, des activités telles que marcher, monter les escaliers, courir et sauter sont possibles pour les enfants atteints d'infirmité motrice cérébrale. La pratique d'un sport est également possible plus tard dans l'enfance (6-12 ans). À cet âge, des restrictions de vitesse, de coordination ou d'équilibre peuvent apparaître.

GMFCS 1

Votre enfant peut se déplacer de manière autonome (avec une orthèse, par exemple une attelle de bras ou de jambe). La mobilité est à peine limitée et, selon l'âge, des activités telles que marcher, monter les escaliers, courir et sauter sont possibles pour les enfants atteints d'infirmité motrice cérébrale. La pratique d'un sport est également possible plus tard dans l'enfance (6-12 ans). À cet âge, des restrictions de vitesse, de coordination ou d'équilibre peuvent apparaître.

GMFCS 2

Votre enfant peut se déplacer de manière autonome dans une certaine mesure (avec une orthèse, par exemple une orthèse de bras ou de jambe). La mobilité est légèrement réduite et, selon l'âge, votre enfant peut se tenir debout et marcher sur un sol stable. Cependant, les sols irréguliers ou les environnements extérieurs peuvent être plus difficiles, et votre enfant peut avoir besoin d'un déambulateur. Il est possible de monter les escaliers avec des mains courantes, mais les capacités de courir et de sauter sont limitées. Chez les enfants plus âgés (6-12 ans), une aide à la mobilité peut être nécessaire pour faire du sport.

GMFCS 3

Votre enfant peut se déplacer de manière autonome à l'aide d'une aide à la marche (béquilles, cannes, déambulateur ou fauteuil roulant). Dans la petite enfance, votre enfant s'assoit principalement dans la position assise en W (genoux devant, pieds derrière, bassin calé au sol). Votre enfant parvient à monter les escaliers avec un adulte. Lorsque votre enfant est un peu plus âgé (6-12 ans), il parvient parfois à monter les escaliers de manière autonome à l'aide de rampes d'escalier. Pour les longues distances ou les terrains accidentés, votre enfant peut avoir besoin d'un fauteuil roulant. Plus tard dans l'enfance (6-12 ans), des aides à la mobilité telles qu'un fauteuil roulant peuvent être nécessaires afin de lui proposer de participer à des activités physiques ou sportives.

GMFCS 4

Votre enfant a une capacité limitée à se déplacer de manière autonome, mais un fauteuil roulant électrique lui permet de le faire. Lorsqu'il est assis, votre enfant a besoin d'être soutenu. Dans certains cas, il est possible de marcher à l'aide d'un déambulateur, mais les changements de direction et l'équilibre sur un sol irrégulier peuvent poser des problèmes. Pour la mobilité intérieure, par exemple à la maison ou à l'école, votre enfant utilisera un fauteuil roulant actif ou un fauteuil roulant électrique. La participation à des activités physiques ou sportives nécessite l'assistance d'une deuxième personne ou des aides à la mobilité telles que des fauteuils roulants électriques.

GMFCS 5

Votre enfant est conduit dans un fauteuil roulant, une poussette ou un landau pour se déplacer. Les mouvements conscients sont fortement limités et votre enfant ne peut pas tenir sa tête ou son tronc de manière autonome (jusqu'à son deuxième anniversaire). Dans la petite enfance (2-4 ans), votre enfant ne peut souvent se tenir debout ou assis que dans une durée limitée, malgré les aides à la mobilité. Parfois, votre enfant peut se déplacer de manière autonome avec un fauteuil roulant électrique (spécialement équipé). Plus tard dans l'enfance (6-12 ans), l'aide d'un adulte ou des aides à la mobilité très adaptées, telles que des fauteuils roulants électriques, apportent leur soutien peuvent l'aider pour participer à des activités physiques ou sportives .

Vie de famille

Vie de famille & paralysie cérébrale

Les traitements font partie de la vie quotidienne

Le diagnostic de la paralysie cérébrale chez votre enfant aura des répercussions sur l'ensemble de votre vie familiale. L'ampleur des changements dépendra du niveau de mobilité de votre enfant. Les familles dont l'enfant est atteint d'une paralysie cérébrale légère au niveau 1 de GMFCS peuvent généralement gérer les symptômes de manière satisfaisante. Cela est souvent possible grâce à des thérapies et à des installations spéciales, à des professionnels qualifiés ainsi qu'à des aides orthopédiques et à des aides à la mobilité adaptées.

Cerebral palsy patient kissing his mother

Soutien familial

Non seulement vous devez trouver votre rôle, mais les frères et sœurs doivent aussi apprendre à gérer les besoins particuliers de leur frère ou sœur et les aider à mener une vie épanouie. Les experts recommandent donc d'initier les frères et sœurs de l'enfant affecté à la paralysie cérébrale d'une manière adaptée à leur âge.

Dans de nombreux cas, l'environnement familial au sens large est également sollicité ; obtenir de l'aide et du soutien en tant que parents ou offrir ce soutien en tant que tantes, oncles, grands-parents ou amis est une étape importante dans l'organisation de la vie familiale. Cette aide peut consister à prodiguer des soins. En outre, il existe également un soutien de la part d'autres personnes en dehors du cercle de la famille et des amis, comme les aides familiales, les bénévoles et les services de soins intégratifs.

Cerebral palsy patient rides with his father in tractor

Les traitements font partie de la vie quotidienne

Le diagnostic de la paralysie cérébrale chez votre enfant aura des répercussions sur l'ensemble de votre vie familiale. L'ampleur des changements dépendra du niveau de mobilité de votre enfant. Les familles dont l'enfant est atteint d'une paralysie cérébrale légère au niveau 1 de GMFCS peuvent généralement gérer les symptômes de manière satisfaisante. Cela est souvent possible grâce à des thérapies et à des installations spéciales, à des professionnels qualifiés ainsi qu'à des aides orthopédiques et à des aides à la mobilité adaptées.

Prendre le temps de vivre des moments en famille

L'organisation du temps en famille et du temps avec les soignants est un défi !

En effet, vous devez également prendre en compte, notamment le fait que votre enfant doit être soigné et soutenu de la meilleure façon possible, tout en disposant de suffisamment de temps pour ses frères et sœurs, ses relations et soi-même. Ce temps est particulièrement important pour les personnes atteintes, car cela leur permet de puiser des forces pour mener une vie de famille positive et active. La relation entre les membres de la famille et vous joue donc un rôle important pour parler des préoccupations, des défis ainsi que des besoins et des souhaits.

Cerebral palsy patient sitting on a horse

Soutien familial

Non seulement vous devez trouver votre rôle, mais les frères et sœurs doivent aussi apprendre à gérer les besoins particuliers de leur frère ou sœur et les aider à mener une vie épanouie. Les experts recommandent donc d'initier les frères et sœurs de l'enfant affecté à la paralysie cérébrale d'une manière adaptée à leur âge.

Dans de nombreux cas, l'environnement familial au sens large est également sollicité ; obtenir de l'aide et du soutien en tant que parents ou offrir ce soutien en tant que tantes, oncles, grands-parents ou amis est une étape importante dans l'organisation de la vie familiale. Cette aide peut consister à prodiguer des soins. En outre, il existe également un soutien de la part d'autres personnes en dehors du cercle de la famille et des amis, comme les aides familiales, les bénévoles et les services de soins intégratifs.

Les traitements font partie de la vie quotidienne

Le diagnostic de la paralysie cérébrale chez votre enfant aura des répercussions sur l'ensemble de votre vie familiale. L'ampleur des changements dépendra du niveau de mobilité de votre enfant. Les familles dont l'enfant est atteint d'une paralysie cérébrale légère au niveau 1 de GMFCS peuvent généralement gérer les symptômes de manière satisfaisante. Cela est souvent possible grâce à des thérapies et à des installations spéciales, à des professionnels qualifiés ainsi qu'à des aides orthopédiques et à des aides à la mobilité adaptées.

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Traitement

Améliorer la mobilité des enfants atteints de paralysie cérébrale

En premier lieu, le traitement de la paralysie cérébrale dépend du type de symptômes et de la manière dont ils affectent la vie quotidienne. L'objectif de la thérapie est d'améliorer les capacités motrices et le développement cognitif de votre enfant et de veiller à ce que votre enfant soit en position verticale afin de faciliter son développement ultérieur.

En outre, des rendez-vous réguliers permettent de suivre la mobilité et l'évolution de votre enfant afin de l'aider au mieux à devenir autonome. Les mesures préventives jouent également un rôle important pour éviter les raccourcissements et les contractures des muscles, des ligaments ou des tendons, ainsi que les malpositions.

De nombreux groupes professionnels différents travaillent ensemble pour promouvoir la mobilité de votre enfant atteint de paralysie cérébrale. La planification des mesures thérapeutiques nécessaires incombe principalement aux médecins traitant et spécialistes. Pour la thérapie du mouvement, votre enfant est principalement suivi par des kinésithérapeutes et des ergothérapeutes. Des orthophonistes et des orthoprothésistes font également partie de l'équipe de traitement afin d'aider votre enfant et votre famille à atteindre le meilleur développement physique et la meilleure qualité de vie possible.

Kinésithérapie

La kinésithérapie pour la paralysie cérébrale vise à améliorer la mobilité et l'amplitude des mouvements existants. Elle est adaptée aux besoins individuels de votre enfant ; en général, les kinésithérapeutes vous apprendront, en tant que parents, comment intégrer l'activité et la promotion du mouvement dans la vie de tous les jours. Ils vous montreront comment gérer certaines situations, comme l'utilisation des aides à la mobilité nécessaires.

Par exemple, des orthèses pour les membres inférieurs sont souvent nécessaires pour la course à pied afin d'améliorer une déformation équine. Avec le temps, la cheville peut devenir plus mobile et la station debout plus facile. Le transfert de votre enfant d'un lit ou d'une chaise à un fauteuil roulant fait également partie de la kinésithérapie. Les parents apprendront également des exercices de mouvement spéciaux qu'ils pourront utiliser avec ou sur leur enfant à la maison.

Ergothérapie

L'ergothérapie soutient également l'activité de votre enfant atteint d'infirmité motrice cérébrale. L'accent est mis sur la promotion des activités quotidiennes, telles que manger, se laver et s'habiller. En outre, les ergothérapeutes adoptent une approche holistique pour soutenir le développement mental et émotionnel de votre enfant. Il s'agit notamment de la perception ou de la capacité d'attention et de concentration.

Dispositifs orthopédiques

Afin de promouvoir et de maintenir la fonction articulaire et la mobilité globale des personnes atteintes d'infirmité motrice cérébrale, les médecins prescrivent des appareils orthopédiques appropriés. Ceux-ci peuvent améliorer ou prévenir la rétractation des muscles, des ligaments et des tendons, ainsi que les malpositions. Les appareils orthopédiques visent à renforcer votre enfant atteint d'infirmité motrice cérébrale afin qu'il puisse mener une vie active et indépendante.

La démarche en ciseaux peut être traitée de cette manière, par exemple. Une orthèse d'abduction de la hanche munie de coussinets à l'intérieur des cuisses permet aux enfants atteints de paralysie cérébrale de s'asseoir fermement ou de marcher plus facilement. Les coussinets du pantalon servent d'espaceurs. L'orthèse peut également être combinée à d'autres aides à la mobilité, telles qu'un fauteuil roulant ou une orthèse de membre inférieur. Cette dernière est souvent une orthèse dynamique cheville-pied (comme l'Ottobock WalkOn Reaction Junior). Elle est utilisée en cas de symptômes de pied tombant. Il existe différents modèles présentant des caractéristiques fonctionnelles différentes. Tous les modèles aident les enfants à marcher de manière physiologique, même à des vitesses et des charges différentes.

Un autre dispositif d'assistance est la combinaison Exopulse Mollii Suit, conçue pour détendre efficacement les muscles tendus et spastiques et soulager la douleur qui en découle. Elle peut être utilisée en combinaison avec la kinésithérapie, l'exercice ou l'activité physique.

Médication

Dans certains cas de paralysie cérébrale spastique, divers médicaments (par voie orale ou par injection) peuvent être utilisés dans le cadre de la thérapie. L'objectif de la thérapie médicamenteuse est de soulager la spasticité et la douleur. Les médecins décident quels médicaments sont appropriés et s'ils sont nécessaires en fonction des symptômes de votre enfant et du fait que certaines conditions sont remplies dans le cadre de l'évaluation des bénéfices et des risques. Chaque cas de paralysie cérébrale étant différent, la décision sera prise au cas par cas.

Traitement chirurgical

Les médecins s'efforcent d'utiliser autant que possible des méthodes de traitement non chirurgicales pour les enfants atteints d'infirmité motrice cérébrale. Dans certains cas, cependant, il peut être judicieux d'envisager des mesures chirurgicales. Selon l'intervention, la douleur causée par la spasticité peut être soulagée et la station debout et la marche peuvent être améliorées. Appliquées suffisamment tôt, certaines interventions chirurgicales peuvent être préventives, et les effets de la spasticité peuvent être évités dans certains cas. Dans certains cas, la chirurgie est également une option de traitement pour des malpositions ou des changements déjà existants dans l'articulation.

Nos solutions

Quelles sont les aides à la mobilité et les appareils orthopédiques disponibles ?

Des orthèses de positionnement aux déambulateurs et fauteuils roulants en passant par une combinaison de neuromodulation presque intégrale, il existe de nombreuses aides à la mobilité pour les enfants atteints de paralysie cérébrale. Nos produits de neuromobilité propose une sélection d'appareils orthopédiques et d'aides à la mobilité qu'Ottobock propose aux enfants, adolescents et adultes atteints de paralysie cérébrale :

Développement

Que signifie la paralysie cérébrale pour la mobilité future de votre enfant ?

De nombreux parents d'enfants atteints d'infirmité motrice cérébrale sont incertains quant à l'avenir de leur enfant. Les questions sur la manière dont les déficiences physiques affecteront le développement et donc la perspective d'une vie indépendante et active sont souvent au centre des préoccupations.

Bien que la paralysie cérébrale ne puisse pas être guérie et reste permanente, le maintien et l'amélioration de la mobilité sont les objectifs du traitement. Un soutien spécifique peut souvent améliorer la mobilité jusqu'à l'âge de sept ans. Plus de la moitié des enfants atteints de paralysie cérébrale sont capables de marcher de manière autonome.

Cerebral palsy patient playing with his airplane in the Exopulse Mollii Suit

L'indépendance de votre enfant

La présentation clinique de la paralysie cérébrale varie considérablement en fonction de l'étendue de la lésion cérébrale de votre enfant. Ainsi, certains enfants ne sont que très légèrement limités et une vie autonome est possible. Si la paralysie cérébrale est grave, il est possible que les personnes concernées dépendent d'un soutien pour le reste de leur vie. Toutefois, même dans ce cas, il existe de nombreuses possibilités et aides à la mobilité pour promouvoir et façonner l'indépendance et la participation de votre enfant.

En l'absence d'autres maladies graves, la paralysie cérébrale n'affecte pas l'espérance de vie.

Cerebral palsy patient playing in the Exopulse Mollii Suit

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References

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La paralysie cérébrale

Vivre avec une paralysie cérébrale

Comprendre la paralysie cérébrale

Comment gérer la paralysie cérébrale en famille?

Qu'est-ce que la paralysie cérébrale ?

Évolution de la paralysie cérébrale

Qu'est-ce que la paralysie cérébrale ?

Que signifie l'infirmité motrice cérébrale infantile ou la paralysie cérébrale ?

Évolution de la paralysie cérébrale

Qu'est-ce que la paralysie cérébrale ?

Quelles sont les causes de la paralysie cérébrale ?

Trouver des solutions qui favorisent la mobilité de votre enfant

Comment la paralysie cérébrale affecte-t-elle le développement de votre enfant ?

Sur la base des symptômes individuels, les médecins peuvent distinguer différents types ou classifications de paralysie cérébrale. L'aperçu suivant montre la forme de paralysie cérébrale derrière les termes médicaux:

Que dit le niveau GMFCS sur la mobilité de votre enfant ?

Vie de famille & paralysie cérébrale

Les traitements font partie de la vie quotidienne

Soutien familial

Les traitements font partie de la vie quotidienne

Prendre le temps de vivre des moments en famille

Soutien familial

Les traitements font partie de la vie quotidienne

Améliorer la mobilité des enfants atteints de paralysie cérébrale

Quelles sont les aides à la mobilité et les appareils orthopédiques disponibles ?

Que signifie la paralysie cérébrale pour la mobilité future de votre enfant ?

L'indépendance de votre enfant

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References